Chers tous,
L'Association des Riverains du quartier Rives de Seine (A2RS) propose aux habitants du quartier du Trapèze, des dossiers thématiques d'information sur les sujets qui retiennent leur attention, tels que les écoles, la sécurité, la qualité de vie, les commerces....
A travers ces dossiers, l'objectif d'A2RS est de fournir des informations issues de sources fiables et de restituer, de façon neutre et sans esprit partisan, les positions des parties prenantes afin de permettre aux habitants de se forger leur propre opinion.
Concernant l'école R. Doisneau, la réunion de quartier 3 du 13 février 2013 a mis en évidence son attractivité, mais aussi un fort questionnement des habitants sur les projets pédagogiques, les problématiques d’accueil des nouveaux élèves et les mesures palliatives proposées aux parents dont les enfants ne pourront intégrer l’école à la prochaine rentrée scolaire. La réunion des représentants de parents d’élèves du 15 avril 2013 a confirmé la sensibilité des parents sur ces sujets. Sujets sur lesquels le maire s’est à nouveau exprimé auprès des parents des enfants scolarisés à l’école R. Doisneau dans un courrier en date du 25 avril.
A travers ce dossier « Le point sur l’école ROBERT DOISNEAU », l’A2RS espère apporter aux parents une compréhension claire des problématiques et des enjeux concernant les écoles du Trapèze, et l’école R. Doisneau en premier lieu.
Vous trouverez ci-dessous la synthèse du dossier ainsi que que le lien vers le dossier complet.
N’hésitez pas bien sûr à nous faire part de vos commentaires ou de vos questions.
Bonne lecture !
J.C. Haemmerlé
vice-président A2RS
a2rs.jhe@gmail.com
Contact : association.rivesdeseine@gmail.com
Web : https://rivesdeseine.forumactif.com/
SYNTHESE
1. L'école R. Doisneau est saturée. Quels sont les chiffres ?
Pour la prochaine rentrée, en septembre 2013, près de 500 enfants sont inscrit à l'école R. Doisneau. Lors des inscriptions, en janvier 2013, il n’a pu être proposé que 45 places en maternelle. Les fratries, 32 élèves, ont été accueillies, et donc seules 13 nouvelles familles ont pu inscrire leur enfant à l'école. Il y aura 10 classes en élémentaire et 8 classes en maternelle, soit 18 classes au total (répartition 2012 : 9 classes en élémentaire et 9 classes en maternelle), avec un nombre moyen d'élèves par classe de près de 28 élèves (voir le tableau des effectifs prévisionnels en annexe).
53 enfants sont sur liste d'attente, et compte tenu des prochaines livraisons d'immeubles sur le site d'ici l'été, ce sont près de 100 enfants qui ne pourront entrer à l'école R. Doisneau.
Une révision de la sectorisation a été réalisée lors de la commission de sectorisation en octobre 2012. Deux immeubles en cours de construction ou d'achèvement (lots D3A et D3B représentant 300 logements environ) ont été retirés du secteur Doisneau pour être attribués au secteur de l'école A4Est.
2. Comment s'explique cette saturation ? Ne pouvait-on pas l'anticiper ?
La population sur le Trapèze est plus jeune que prévue en 2003 par l'aménageur du site (voir tableau des prévisions de 2003 en annexe 2). En effet, l’âge moyen sur le Boulogne-Billancourt construit est de 40 ans, contre 28 ans sur le Trapèze, et cela malgré le prix élevé du m2. Cela représente donc un nombre important d'enfants en âge d'entrer en maternelle ou en élémentaire (voir la pyramide des âges des enfants boulonnais en annexe 3). Les prochains groupes scolaires, dont l'ouverture est prévue en 2014 et 2016, disposeront chacun de 18 classes et 2 centres de loisirs.
3. Peut-on ouvrir une ou plusieurs nouvelles classes dans l'école, quitte à convertir certains locaux ?
Cela a déjà été fait. L'école R. Doisneau était prévue pour 16 classes et 2 classes supplémentaires ont été ouvertes à la rentrée 2013.
Aujourd'hui les acteurs de la communauté scolaire – mairie, direction de l'école, fédérations et associations de parents d'élèves – partagent l'avis qu'il n'est pas possible d'ouvrir une nouvelle classe sans mettre en cause la qualité de vie et d'enseignement, à la fois pour les élèves et pour les personnels éducatifs (voir les interviews du directeur de l'école ainsi que des représentants de parents d'élèves en annexe) .
Tout d'abord les locaux disponibles – salle informatique, salle polyvalente – sont des équipements qui contribuent à la qualité de l'enseignement. Un autre équipement, la salle d'art, a déjà été converti en dortoir. D'autre part, les parties communes de l'école - cours de récréation, dortoirs, cantine, centre de loisir, accueil du soir...- ne permettent pas d'accueillir correctement d'avantage d'enfants. La pose méridienne a ainsi dû être étalée sur 2 heures afin d'éviter la saturation de la cantine maternelle et du self des élémentaires le midi. (80% des élèves déjeunent sur place). Par ailleurs les cours de récréation ne sont assez grandes pour y construire une classe comme cela se fait parfois dans des écoles en travaux. Enfin, l'école est construite dans un ensemble immobilier qui rend impossible son extension au-delà de ses murs actuels.
Ouvrir une classe supplémentaire serait au demeurant insuffisant, compte tenu du nombre d'élèves en liste d'attente.
4. Peut-on étendre le projet bilangue Doisneau à la nouvelle école A4Est qui ouvrira en septembre 2014 ?
C'est une demande formulée par toutes les fédérations et associations de parents d'élèves, qui font valoir que ce projet, unique en France, est largement plébiscité par les parents. Elles sont soutenues par la direction de l'école R. Doisneau qui souligne que ce projet nécessite des enseignants « à profil », c'est à dire recrutés sur des critères de compétences spécifiques liés au niveau d'anglais, alors que l'affectation des enseignants est généralement basée sur un « barème » propre à l'éducation nationale (intégrant entre autres l'ancienneté). Il est donc plus facile de mettre en œuvre un tel projet lorsque l'équipe enseignante n'est pas encore constituée, ce qui est le cas de la future école A4Est.
L'extension du projet parait cependant très improbable.
Tout d'abord le projet s'inscrit dans le cadre de l'article 34 de la loi d'orientation et de programme pour l'avenir de l'École du 23 avril 2005 concernant l'innovation et l'expérimentation (voir le contenu de l'article 34 en annexe). Cet article précise que "...ces expérimentations font l'objet d'une évaluation annuelle.". Or cette évaluation n'est pas terminée. Débutée en 2010 pour une durée de 3 ans sur un panel représentatif de 15 élèves (comparés à 15 élèves d'une autre école boulonnaise d'enseignement traditionnel), elle ne s’achèvera qu'à la fin de l'année scolaire 2012-2013 (voir le détail du protocole d'évaluation en annexe 5). Or, l'inspection d'académie précise que le projet « ne sera repris que sous réserve d'une évaluation positive » (voir les informations fournies par l’inspection d'académie en annexe).
Enfin, au-delà des contraintes liées au contexte expérimental, il semble que ce soit le recours au recrutement d'enseignants à profil, donc en dehors du cadre « classique » du barème, qui rend difficile le développement du projet, par les tensions qu'il génère entre les parties prenantes au sein même de l'éducation nationale. Le maire de Boulogne-Billancourt reconnaît d'ailleurs que « l'école bilangue est une exception nationale obtenue de haute lutte et n'est pas duplicable » (voir le courrier du maire en annexe).
On peut noter que cette difficulté de recrutement se présentera de la même façon pour le projet «sciences et biodiversité» de l'école A4Est : sachant que la ville de Boulogne-Billancourt a déjà bénéficié d'un traitement favorable sur l’école R. Doisneau, de nouveaux enseignants « à profil » pourront-ils être recrutés ? Sur quelles compétences spécifiques ? Ces questions restent sans réponses (?) à ce jour.
5. Pourquoi ne pas avoir réparti le projet bilangue entre maternelle sur R. Doisneau et élémentaire sur A4Est ?
Le maire, en accord avec l'inspection d'académie, s'y est opposé pour des raisons d'ordre à la fois pédagogique - cette répartition serait incompatible avec les cycles d'enseignements du primaire, et organisationnel car il est n'est pas pratique pour les parents de gérer l'accompagnement leurs enfants dans deux écoles différentes.
6. Quelle est la solution retenue pour les enfants ne pouvant être accueillis sur l'école R. Doisneau ?
Les enfants seront affectés sur la future école A4Est. En attendant son ouverture en septembre 2014, les enfants seront accueillis en septembre 2013, et pendant un an, dans les locaux du collège du Vieux-Pont, 147 rue du Vieux Pont de Sèvres, dont la mise aux normes maternelles et élémentaires est en cours de réalisation pour un budget prévisionnel de 8 millions d'euros, financé par la commune. L'équipe enseignante, qui doit être recrutée au regard du projet « sciences et biodiversité », et les enfants rejoindront l’école A4Est dès sa mise à disposition, assurant ainsi la continuité pédagogique.
Le bâtiment de cette nouvelle école est présenté par le maire comme exceptionnel et innovant, doté en particulier d'une toiture végétalisée à vocation pédagogique (voir une image de synthèse du groupe scolaire en annexe). Des innovations chiffrées par le maire à 6 millions d'euros en surcoût du budget initial (voir en annexe l'extrait de la réunion des délégués de parents d'élèves du 15 avril2013 en mairie)
Sans rejeter a priori la thématique proposée, les fédérations et associations de parents restent cependant dubitatives sur le contenu réel du projet pédagogique autour des sciences et de la biodiversité, dont les détails ne sont pas encore connus.
LIEN VERS LE DOSSIER COMPLET :
http://rapidshare.com/files/1514762984/LES_DOCUMENTS_A2RS_Ecole_Doisneau_V1d_vdef.pdf
En cas de difficulté de téléchargement, copiez-coller le lien suivant (sans les guillemets) :
"http://rapidshare.com/files/1514762984/LES_DOCUMENTS_A2RS_Ecole_Doisneau_V1d_vdef.pdf"
L'Association des Riverains du quartier Rives de Seine (A2RS) propose aux habitants du quartier du Trapèze, des dossiers thématiques d'information sur les sujets qui retiennent leur attention, tels que les écoles, la sécurité, la qualité de vie, les commerces....
A travers ces dossiers, l'objectif d'A2RS est de fournir des informations issues de sources fiables et de restituer, de façon neutre et sans esprit partisan, les positions des parties prenantes afin de permettre aux habitants de se forger leur propre opinion.
Concernant l'école R. Doisneau, la réunion de quartier 3 du 13 février 2013 a mis en évidence son attractivité, mais aussi un fort questionnement des habitants sur les projets pédagogiques, les problématiques d’accueil des nouveaux élèves et les mesures palliatives proposées aux parents dont les enfants ne pourront intégrer l’école à la prochaine rentrée scolaire. La réunion des représentants de parents d’élèves du 15 avril 2013 a confirmé la sensibilité des parents sur ces sujets. Sujets sur lesquels le maire s’est à nouveau exprimé auprès des parents des enfants scolarisés à l’école R. Doisneau dans un courrier en date du 25 avril.
A travers ce dossier « Le point sur l’école ROBERT DOISNEAU », l’A2RS espère apporter aux parents une compréhension claire des problématiques et des enjeux concernant les écoles du Trapèze, et l’école R. Doisneau en premier lieu.
Vous trouverez ci-dessous la synthèse du dossier ainsi que que le lien vers le dossier complet.
N’hésitez pas bien sûr à nous faire part de vos commentaires ou de vos questions.
Bonne lecture !
J.C. Haemmerlé
vice-président A2RS
a2rs.jhe@gmail.com
Contact : association.rivesdeseine@gmail.com
Web : https://rivesdeseine.forumactif.com/
SYNTHESE
1. L'école R. Doisneau est saturée. Quels sont les chiffres ?
Pour la prochaine rentrée, en septembre 2013, près de 500 enfants sont inscrit à l'école R. Doisneau. Lors des inscriptions, en janvier 2013, il n’a pu être proposé que 45 places en maternelle. Les fratries, 32 élèves, ont été accueillies, et donc seules 13 nouvelles familles ont pu inscrire leur enfant à l'école. Il y aura 10 classes en élémentaire et 8 classes en maternelle, soit 18 classes au total (répartition 2012 : 9 classes en élémentaire et 9 classes en maternelle), avec un nombre moyen d'élèves par classe de près de 28 élèves (voir le tableau des effectifs prévisionnels en annexe).
53 enfants sont sur liste d'attente, et compte tenu des prochaines livraisons d'immeubles sur le site d'ici l'été, ce sont près de 100 enfants qui ne pourront entrer à l'école R. Doisneau.
Une révision de la sectorisation a été réalisée lors de la commission de sectorisation en octobre 2012. Deux immeubles en cours de construction ou d'achèvement (lots D3A et D3B représentant 300 logements environ) ont été retirés du secteur Doisneau pour être attribués au secteur de l'école A4Est.
2. Comment s'explique cette saturation ? Ne pouvait-on pas l'anticiper ?
La population sur le Trapèze est plus jeune que prévue en 2003 par l'aménageur du site (voir tableau des prévisions de 2003 en annexe 2). En effet, l’âge moyen sur le Boulogne-Billancourt construit est de 40 ans, contre 28 ans sur le Trapèze, et cela malgré le prix élevé du m2. Cela représente donc un nombre important d'enfants en âge d'entrer en maternelle ou en élémentaire (voir la pyramide des âges des enfants boulonnais en annexe 3). Les prochains groupes scolaires, dont l'ouverture est prévue en 2014 et 2016, disposeront chacun de 18 classes et 2 centres de loisirs.
3. Peut-on ouvrir une ou plusieurs nouvelles classes dans l'école, quitte à convertir certains locaux ?
Cela a déjà été fait. L'école R. Doisneau était prévue pour 16 classes et 2 classes supplémentaires ont été ouvertes à la rentrée 2013.
Aujourd'hui les acteurs de la communauté scolaire – mairie, direction de l'école, fédérations et associations de parents d'élèves – partagent l'avis qu'il n'est pas possible d'ouvrir une nouvelle classe sans mettre en cause la qualité de vie et d'enseignement, à la fois pour les élèves et pour les personnels éducatifs (voir les interviews du directeur de l'école ainsi que des représentants de parents d'élèves en annexe) .
Tout d'abord les locaux disponibles – salle informatique, salle polyvalente – sont des équipements qui contribuent à la qualité de l'enseignement. Un autre équipement, la salle d'art, a déjà été converti en dortoir. D'autre part, les parties communes de l'école - cours de récréation, dortoirs, cantine, centre de loisir, accueil du soir...- ne permettent pas d'accueillir correctement d'avantage d'enfants. La pose méridienne a ainsi dû être étalée sur 2 heures afin d'éviter la saturation de la cantine maternelle et du self des élémentaires le midi. (80% des élèves déjeunent sur place). Par ailleurs les cours de récréation ne sont assez grandes pour y construire une classe comme cela se fait parfois dans des écoles en travaux. Enfin, l'école est construite dans un ensemble immobilier qui rend impossible son extension au-delà de ses murs actuels.
Ouvrir une classe supplémentaire serait au demeurant insuffisant, compte tenu du nombre d'élèves en liste d'attente.
4. Peut-on étendre le projet bilangue Doisneau à la nouvelle école A4Est qui ouvrira en septembre 2014 ?
C'est une demande formulée par toutes les fédérations et associations de parents d'élèves, qui font valoir que ce projet, unique en France, est largement plébiscité par les parents. Elles sont soutenues par la direction de l'école R. Doisneau qui souligne que ce projet nécessite des enseignants « à profil », c'est à dire recrutés sur des critères de compétences spécifiques liés au niveau d'anglais, alors que l'affectation des enseignants est généralement basée sur un « barème » propre à l'éducation nationale (intégrant entre autres l'ancienneté). Il est donc plus facile de mettre en œuvre un tel projet lorsque l'équipe enseignante n'est pas encore constituée, ce qui est le cas de la future école A4Est.
L'extension du projet parait cependant très improbable.
Tout d'abord le projet s'inscrit dans le cadre de l'article 34 de la loi d'orientation et de programme pour l'avenir de l'École du 23 avril 2005 concernant l'innovation et l'expérimentation (voir le contenu de l'article 34 en annexe). Cet article précise que "...ces expérimentations font l'objet d'une évaluation annuelle.". Or cette évaluation n'est pas terminée. Débutée en 2010 pour une durée de 3 ans sur un panel représentatif de 15 élèves (comparés à 15 élèves d'une autre école boulonnaise d'enseignement traditionnel), elle ne s’achèvera qu'à la fin de l'année scolaire 2012-2013 (voir le détail du protocole d'évaluation en annexe 5). Or, l'inspection d'académie précise que le projet « ne sera repris que sous réserve d'une évaluation positive » (voir les informations fournies par l’inspection d'académie en annexe).
Enfin, au-delà des contraintes liées au contexte expérimental, il semble que ce soit le recours au recrutement d'enseignants à profil, donc en dehors du cadre « classique » du barème, qui rend difficile le développement du projet, par les tensions qu'il génère entre les parties prenantes au sein même de l'éducation nationale. Le maire de Boulogne-Billancourt reconnaît d'ailleurs que « l'école bilangue est une exception nationale obtenue de haute lutte et n'est pas duplicable » (voir le courrier du maire en annexe).
On peut noter que cette difficulté de recrutement se présentera de la même façon pour le projet «sciences et biodiversité» de l'école A4Est : sachant que la ville de Boulogne-Billancourt a déjà bénéficié d'un traitement favorable sur l’école R. Doisneau, de nouveaux enseignants « à profil » pourront-ils être recrutés ? Sur quelles compétences spécifiques ? Ces questions restent sans réponses (?) à ce jour.
5. Pourquoi ne pas avoir réparti le projet bilangue entre maternelle sur R. Doisneau et élémentaire sur A4Est ?
Le maire, en accord avec l'inspection d'académie, s'y est opposé pour des raisons d'ordre à la fois pédagogique - cette répartition serait incompatible avec les cycles d'enseignements du primaire, et organisationnel car il est n'est pas pratique pour les parents de gérer l'accompagnement leurs enfants dans deux écoles différentes.
6. Quelle est la solution retenue pour les enfants ne pouvant être accueillis sur l'école R. Doisneau ?
Les enfants seront affectés sur la future école A4Est. En attendant son ouverture en septembre 2014, les enfants seront accueillis en septembre 2013, et pendant un an, dans les locaux du collège du Vieux-Pont, 147 rue du Vieux Pont de Sèvres, dont la mise aux normes maternelles et élémentaires est en cours de réalisation pour un budget prévisionnel de 8 millions d'euros, financé par la commune. L'équipe enseignante, qui doit être recrutée au regard du projet « sciences et biodiversité », et les enfants rejoindront l’école A4Est dès sa mise à disposition, assurant ainsi la continuité pédagogique.
Le bâtiment de cette nouvelle école est présenté par le maire comme exceptionnel et innovant, doté en particulier d'une toiture végétalisée à vocation pédagogique (voir une image de synthèse du groupe scolaire en annexe). Des innovations chiffrées par le maire à 6 millions d'euros en surcoût du budget initial (voir en annexe l'extrait de la réunion des délégués de parents d'élèves du 15 avril2013 en mairie)
Sans rejeter a priori la thématique proposée, les fédérations et associations de parents restent cependant dubitatives sur le contenu réel du projet pédagogique autour des sciences et de la biodiversité, dont les détails ne sont pas encore connus.
LIEN VERS LE DOSSIER COMPLET :
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En cas de difficulté de téléchargement, copiez-coller le lien suivant (sans les guillemets) :
"http://rapidshare.com/files/1514762984/LES_DOCUMENTS_A2RS_Ecole_Doisneau_V1d_vdef.pdf"