Je pense que le sommet de la cité musicale (cad le haut de la voile solaire) sera plus haut que le sommet de R4. Mais je te rejoins sur l'un avis d'un pro du BTP. Quel est ton avis Oli ?
Actarus
ZAC ile Seguin Rives de Seine - Trapèze - Boulogne-Billancourt
Asso_A2RS a écrit:A2RS rappelle trois points essentiels sur les constructions futures sur le centre de l'Ile et réitère
> Sa demande de voir limiter la hauteur maximale des objets complémentaires, les OAP, même complétées de schéma, n'apparaissent pas suffisantes afin de garantir la conformité avec le projet adopté par les Boulonnais lors de la votation et éviter l'érection de plusieurs tours.
> Sa demande de voir étudier la position plus optimale du belvédère en tenant compte du vis-à-vis par rapport aux immeubles d'habitation de la rive de Billancourt,
> Sa demande de réévaluer la pertinence de la galerie.[/i]
Mesdames et Messieurs les responsables de Boulogne Environnement et Action Environnement Boulogne-Billancourt.
Résidents du Trapèze, riverains de l’île Seguin et d’au-delà, nous avons appris votre décision de déposer un recours contentieux contre le permis de construire du pôle international d’art contemporain de l’île Seguin, le « R4 ».
Or, par cette action, vous n’attaquez pas la Ville ou son PLU mais un équipement culturel, complémentaire de la Cité musicale portée par le Conseil général !
Comme chacun de nous, vous savez combien le départ de la Fondation Pinault en 2005 a été traumatisant.
Le projet « R4 », qui est unique au monde, accueillera sur un même site toute la chaîne des acteurs de l’art contemporain. Ce projet, qui ne coûte pas d’argent public et est porté par des investisseurs suisses, est générateur d’emplois et contribuera largement au rayonnement de notre ville, de notre région et de la France.
En cette période de crise et de morosité ambiante, ce projet privé est un magnifique signal positif. Rappelons que l’île Seguin est aussi la locomotive qui permettra aux commerces, auxquels nous sommes attachés, de se développer et de survivre. Si ce projet devait échouer, sur qui pèseront les risques financiers, si ce n’est sur les contribuables boulonnais ?
Or, si vous persistez, nous revivrons le fiasco de 2005 avec le départ des investisseurs suisses ! Et après deux tels échecs cuisants, qui osera encore vouloir porter un projet sur note île ?
Aussi, nous faisons appel à votre sens des responsabilités : ne vous trompez pas de combat en prenant la culture en otage !
Au nom de l’intérêt général, auquel nous vous savons attachés, nous vous demandons solennellement de retirer votre recours le plus vite possible.
A2RS