Actarus a écrit:Je pense en effet qu'il n'est pas tout à fait objectif et évacue rapidement les problèmes constatés : "Problème d'hygiène ? d'insalubrité ? Quoi qu'il en soit [...]". Même chose sur la surpopulation : "Ce foyer, construit dans les années 70, juste à côté de l'usine Renault, accueille officiellement 400 résidents [...]"
=> Officieusement, d'après les échos de la Mairie et d'autres sources, le foyer serait en surcapacité de 2 à 3 fois supérieur aux capacités.
Actarus a écrit:Par contre si comme l'article l'indique "[...] la fermeture ne s'est pas faite dans les normes et la procédure lésgilative n'a pas été respectée tempêtent-ils." le droit n'a pas été respecté, il est nécessaire de corriger cet aspect.
=> Je suis d'accord qu'il faille respecter le droit. La descente a été faite par la Préfecture. Il y a donc de forte chance que la Loi ait été respectée. Qu'ils apportent la preuve que la Loi n'ait pas été respectée.
Il faut aussi savoir que la cuisine collective dont il parle n'a pas été autorisée (ni autorisation de cuisine, ni d'activité commerciale), et qu'il dispose d'une cuisine pour les résidents. De la même manière, les résidents ne respectent pas les lois et règlements (de Coalia, départemental) : jets d'ordures par la fenêtre, squat devant l'immeuble, bruits, trafic divers et variés, réparation automobile, linge au fenêtre ...
chaque résident avant d'emménager a du signer un bail assorti du règlement à respecter. Si celui-ci ne lui convient pas, il peut chercher un logement ailleurs.
Actarus a écrit: Je ne sais pas si c'est le seul foyer qui pose problème. Comme un article du Parisien l'indiquait, ce n'est pas le seul de Coallia qui rencontre de tels problèmes dans la région.
=> Je parlais des autres foyers Rue Yves Kermen, Rue de Meudon qui bien que vieillisant ne font pas l'objet des mêmes syndromes : linge au fenêtre, rassemblement et bruit devant, poubelles non lavées puantes et devant le trottoir.